Actualités

DÉCLARATION DE LA RÉUNION DES FEMMES D’AMÉRIQUE LATINE ET DES CARAÏBES

mai 12, 2014

IV CONFERENCE SPECIALE DE L’ALLIANCE POUR LA SOUVERAINETE ALIMENTAIRE DES PEUPLES D’AMÉRIQUE LATINE ET LES CARAÏBES. À Santiago du Chili, le 2 mai, les femmes rurales, rurales, les pêcheurs, les éleveurs, et salaire agricole indigène spéciale sur la souveraineté alimentaire en Amérique latine et des Caraïbes réunis la Conférence déclarent que: Nous affirmons les contributions politiques de souveraineté alimentaire comme un principe. Nous apprécions et reconnaissons les efforts antérieurs à cette Conférence, dans lequel processus et de la mise en œuvre de la Conférence mondiale de l’alimentation tenu au Mali sous le nom de la femme de Nyéléni où nos propositions affectent la reconnaissance des droits à construire et à socialiser avec sexe. Comme en considération les progrès dans ce processus de plus de 20 ans de construction, l’ordre du jour pour la défense de la souveraineté alimentaire, la constitution de l’Alliance et son document fondateur, doivent avancer à cela et d’autres documents transformé en politique publique. Nous soulignons le travail des femmes rurales et de l’aquaculture de la pêche artisanale, la mariculture dans tous les domaines: la production, la reproduction, les soins des personnes, des biens communs et la nature, les femmes sont historiquement émetteurs de la culture par le biais de les valeurs, la résistance culturelle, la langue de la défense, langues, costumes, les pratiques anciennes et communautaires. Nous réaffirmons l’importance de la mobilisation sociale comme un outil pour l’action et le positionnement politique des incidents et de la résistance parce que les gens ont le droit de décider librement de la commercialisation de la production des modes de vie et le commerce nous voulons en opposition à l’agro-industrie, le modèle d’extraction et de concentration qui affecte principalement des femmes dans leurs conditions de travail, de vie et son impact sur la production, de reproduction et les conditions de la prise en charge de la vie et de la nature travail. Les impacts flexibles et précaires travail plus fortement aux femmes. Nous dénonçons que existante conventions internationales interdisant le travail des enfants, encore violent les droits des enfants dans le secteur agroalimentaire, les privant de vivre une éducation pleine et heureuse et la santé garanti par les Etats. Nous exhortons les gouvernements de l’Amérique latine et les Caraïbes et la FAO adopter l’approche des biens collectifs se référer à nos territoires: la terre, l’eau et les écosystèmes de la biodiversité. Les gouvernements doivent se assurer que toutes les personnes aient l’accès aux biens publics et d’assurer leur protection. Respecter les règles définies par les traités et conventions internationales telles que la CEDAW (Convention internationale contre toutes les formes de discrimination contre les femmes). À cet égard, nous déclarons campagne en cours contre la violence contre les femmes dans tous leurs (sexuelles, psychologiques, économiques, nationaux et institutionnels) formes. Nous appelons les États et les organisations internationales pour assurer la conformité avec les droits légitimes des femmes. Nous exigeons la mise en œuvre effective de la Convention 169 et la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et le respect des droits coutumiers. Appliquer le mécanisme d’une consultation libre et éclairé à propos de tout ce qui touche nos territoires. Promouvoir la sécurité juridique de la propriété foncière pour les femmes défendent le droit inaliénable et imprescriptible. Reconnaître la vision du monde des peuples autochtones, la solidarité, la réciprocité et la complémentarité. Évaluer, reconnaître et respecter les connaissances des femmes et des hommes agriculteurs garants de la souveraineté alimentaire, à travers la réforme agraire intégrale. Incorporer l’ économie solidaire dans la politique publique qui favorise les partenariats, le renforcement achats, le stockage et la commercialisation, d’autres formes de l’échange de territoires propre. Ne pas permettre à la privatisation des biens communs, et le brevetage de toute vie. Nous nous opposons aux éleveurs de droit, la propriété intellectuelle sur les semences, les plantes médicinales et l’intervention génétique qui brise le cycle écologique de la nature. Les mécanismes comprennent une compensation intégrale pour les femmes victimes de violation des droits de l’homme en Amérique latine et dans les Caraïbes. Renforcer le rôle de surveillance des parlements à promouvoir des politiques pour la souveraineté alimentaire. Reconnaître l’Alliance pour la souveraineté alimentaire comme une contrepartie à la discussion et des décisions aux pays et la FAO. Les représentants de nos organisations demandent aux femmes de se engager à: Renforcer le rôle des femmes dans la préservation, la conservation et le développement de nos cultures. Renforcer la formation politique des femmes pour la souveraineté alimentaire et de promouvoir la création d’un programme régional de formation. Socialiser informations sur l’année de l’agriculture familiale paysanne et indigène, et son importance pour nourrir le monde et protéger la planète. Renforcer et élargir nos organisations en organisant en actions ordinaires. Pour suivre et évaluer les gouvernements d’Amérique latine et des Caraïbes et de la FAO pour la mise en œuvre des accords et des engagements pris. Nous serons attentifs aux différents processus politiques et de travailler ensemble pour les mouvements sociaux dans son ensemble effectuer cette surveillance. Nous ne permettrons pas que la manipulation et l’exploitation de la souveraineté alimentaire. Continuer à construire des alliances avec les femmes urbaines, de leurs organisations et d’autres secteurs d’entretenir des relations équilibrées entre la production et la commercialisation des produits alimentaires. « Résistance et de la rébellion, les graines pour la vie »